Dernières réponses | | Ah ah ah.,.. Très drole. Moi j'ai un tout petit peu commencé la mienne mais j'attends d'avoir plus de matière avant de poster! |
| | mdr^^ Quand j'aurais le temps j'en ferais peut-être une nouvelle...Une nouvelle nouvelle xD |
| | Ok c'est bon j'a capté. Ben oui je comprends vite mais faut m'expliquer lentement! |
| | exactement! OSCOC n'est pas parvenue au résultat souhaité avec Jack, leur expérience a donc raté. C'est pour cela que le mec lui dit que c'est un prototype raté. |
| | Ben justement si il a réussi à faire tout ça, c'est qu'il ets pas raté... Tu veux dire raté parce qu'incontrolable c'est ça? |
| | Il est considéré comme raté par son créateur, toute l'organisation OSCOC, parcequ'il est parvenu à s'échapper tout de suite après qu'il ait pu utiliser tout son potentiel cérébral. Il n'avait alors que 4 ans, et, inconsciemment il est parvenu à tuer le personnel qui le surveillait et à s'échapper. On peut supposer que son instinct de survie s'est amélioré après l'opération et que son subconscient lui a permis de s'échapper alors même qu'il était trop jeune pour comprendre la situation. Mais en réalité, il est loin d'être raté car il maitrise parfaitement son potentiel cérébrale. |
| | Super. Vraiment super. Je préfère le chapitre deux. Juste un truc. On ne siat pas pourquoi Jack ets raté. Est ce que c'est un problème de conscience qui ne va plus, de cruauté, ou simplment de capacités mentales encore pas assez développées? |
| | ouais c'est psq à l'époque j'venais de passer mon oral blanc de français et j'étais tombé sur le chapitere 30 de candide^^ Suite et fin qui part en couille (excusez-moi de l'expression mais c'est vrai...En fait à la base ce chapitre 4 n'était pas censé être la fin, mais comme c'est dans celui ci qu'on dévoile tout, j'ai jugé recemment qu'il n'y avait plus d'utilité à faire la suite et que le lecteur pouvait imaginer ce qu'il voulait.) Chapitre IV : J’ai des fourmis dans les jambes à présent. Je m’agite, j’essai de gigoter, rien à faire, je suis bloqué là, depuis longtemps, très longtemps. Je n’ai aucune notion du temps depuis mon enlèvement. Je cri, demandant de l’aide. J’entend une voix au loin, une voix calme, sereine, une voix de vieillard, qui me dit : « Cela ne sert à rien de crier, personne ne t’entendra, Prototype n°1-A, des murs anti-son nous entourent. » Comment m’a-t-il appelé ? Prototype machin, il se prend pour qui lui ? « Mon nom est Jack. Pas prototype je-ne-sais-quoi… , répond-je. -Peu importe le nom que tu t’es donné, tu n’es qu’un prototype...raté. -Pour qui vous vous prenez ?! Raté ?! Je suis supérieur à quasiment tout les humains ! Ah si j’étais pas attaché à cette foutue table je vous…. -Oui, mais tu l’es. Si tu veux savoir ce que tu es réellement, tu ferais bien de m’écouter… » Une lumière s’allume et je vois enfin le vrai visage de l’homme, assis sur un fauteuil, face à moi. Je n’avais pas tord, il est âgé. Des cheveux assez court, blanc, une moustache et une barbe blanches également, cachant sa bouche et ses joues. La conversation reprend ensuite : « Je veux juste savoir qui est le mec qui me ressemble, m’exclamé-je. -Je vais y venir…Mais tout d’abord j’aimerais me présenter. Je suis le directeur de notre entreprise, l’OSCOC, Organisation Scientifique du Clonage et des Opérations Cérébrales. Et je suis…ton créateur. -Mon…créateur ?! Vous voulez dire…mon père biologique ? -Oui, Prototype n°1-A. Tu étais le fruit de mon amour pour Angélina, ta défunte mère, aujourd’hui tu n’es plus qu’un…vulgaire essai raté. » Sur ces derniers mots, mes muscles se crispaient. Je ne supportais pas qu’il m’appelle comme ça ! Il enchaîna… « Notre société est secrète, elle a été demandé par le gouvernement, mais le peuple doit en aucun cas être au courant de notre existence. Nous avions pour mission de créer un être…l’Etre Parfait. Un homme plus fort que les autres, une sorte de mutant, de super héros. Une sorte d’Arme Absolue en cas de guerre… Nous avons alors créé les premiers hommes génétiquement modifié. Le premier fut un ratage, il n’a plus rien d’humain. C’est une bête… Ses cellules n’ont pas supportés les modifications génétiques. Il est toujours en vie, dans l’une de nos chambres à prototype, comme celle oû nous nous situons actuellement. -Quoi ? Ils vivent tous là ?! Y a de quoi se suicider ! Ils doivent s’ennuyer à mourir ici ! -Je doute que la notion d’ennuie soit encore connue de ce monstre…Nous avons créé cinq autres personnes génétiquement modifiées…dont une femme… -Ce n’est tout de même pas… -Angélina, mon épouse, était atteinte d’une maladie incurable. Cette solution lui a permis de survivre… -Mais à quel prix ? -Nos six EGM, Etre Génétiquement Modifié, ont tous des caractères inhumains. Mis à part Genetic 1, les cinq autres ont une apparence humaine. Ils nous obéissent au doigt et à l’œil. -Ce sont des légumes…Et Angélina aussi, je suppose ? -Angélina est morte ! Genetic 6 n’est qu’un de ces monstres produits par OSCOC, tout comme toi !!! -Ne me traitez plus jamais comme un monstre, oû vous le regretteriez si je sors d’ici un jour. -Il me semble que je suis en meilleure position que toi pour obtenir aisément ta coopération… » Le silence revient sur ces mots. Il vient de m’expliquer tellement de choses qui m’étaient incompréhensibles jusqu’à maintenant…Ainsi, moi aussi, suis le fruit de leurs opérations…Il reprend la parole : « Mais il nous fallait quelque chose de plus fort…de plus malin…de mieux. On a alors décidé de s’attaquer au cerveau. L’OSMG (Organisation Scientifique des Modifications Génétiques ) s’est donc transformée en OSCOC. Et toi, tu es le premier, et même le seul, à avoir subit l’opération cérébrale n°13-2-B, une opération jusqu’à lors jamais testée. Notre échec est donc compréhensible. Je vais t’expliquer clairement en quoi consiste cette opération…Un humain normal utilise en moyenne 20% de ses capacités cérébrales. Il n’utilise pas tout le potentiel fournit par son cerveau, car il ne sait comment l’utiliser. Des études scientifiques hautement poussées nous ont permis de comprendre comment remédier à ce problème. Le cerveau, c’est comme l’informatique. Il y a une donnée qui dit de ne pas utiliser tout le potentiel, alors pour utiliser les 80% cachés, il faut retirer cette donnée… On ne savait pas à l’époque les conséquences que cela aurait apporté. On ne savait pas ce qu’un être pouvait faire avec tout son potentiel cérébrale…Il était trop dangereux de pratiquer cette opération sur un adulte, nous avons alors choisit d’opérer sur un bambin… -Votre propre fils…moi. -Exact. Un gamin dont le père avait changé la mère en monstre…quelle vie aurait-il mené ? Alors on a décidé de lui cacher la vérité, on avait l’intention de t’enfermer dans une chambre à prototype après ton opération…Mais tout a mal tourné. L’opération a réussi, seulement, dans les heures qui ont suivis l’opération, lorsque tu étais en salle de repos, des phénomènes étranges se sont produits, on a retrouvé des personnes mortes dans la salle de repos, et…tu avais disparu. Plus aucune nouvelle de toi… -Je connais la suite. On m’a adopté, puis j’ai grandis…Je me souviens exactement de tout depuis mes six ans. -On t’a opéré lorsque tu avais 4 ans. Il a sûrement fallu deux années pour que ton cerveau s’habitue. -Vous n’avez pas répondu à ma question. Qui est l’homme qui me ressemble ? -Tu ne m’as pas laissé finir mon histoire…Après ta disparition, on a prélevé de tes cellules qui étaient sur le bout de cerveau que l’on t’avait retiré. Le clonage n’a plus aucun secret aujourd’hui, pour nous. On t’a cloné à partir de tes cellules. On a effectué la même opération. Je l’ai élevé comme mon propre fils en prenant un maximum de précaution, et aujourd’hui il travail pour notre entreprise. -Pourquoi m’avoir cloné ? -Il était trop dangereux de laisser un être tel que toi en liberté dans un monde déchiré par la violence…On t’a longtemps cherché. On a compris ton don grâce à Prototype 1-B , ton clone, qui a le même. Et on a également appris son fonctionnement, et comment le contrer. Aux informations, ils ont dit que le taux de suicides et de morts étranges était en accroissement, on a tout de suite compris pourquoi…On a alors cherché ton adresse et envoyé trois hommes pour voir s’il s’agissait de toi, et pas manqué. -Vous m’avez capturé ensuite en contrant mon pouvoir, vous m’avez enfermé ici et m’avez tout raconté. Pourquoi ? pourquoi m’avoir tout raconté ? -Nous ne pouvons pas te laisser en liberté. Soit tu travail pour nous, aux côtés de ton clone, soit on te tue… -Vu ma position actuelle je n’ai pas trop le choix… » En ce moment d’acceptation, je sens que ma vie prend enfin un sens. Je vais faire semblant de travailler pour eux afin de pouvoir combattre mon clone, tel est mon but. Je suis un peu déçu du fait que ce soit mon clone, en tant qu’originel, je suis plus fort que lui, normalement…Mais un affrontement contre lui sera toujours plus intéressant qu’un contrôle d’humains… Je ne sais pas en quoi consistera mon travail dans cette société, ce que je devrais faire ou ne pas faire, une chose est sûre : l’ennui mortel qui constituait ma vie va enfin trouver fin. J’espère me faire des ennemis, des ennemis à ma hauteur, parce que sans ennemis, on s’ennuie dans ce pauvre monde, condamné à vivre comme les autres et en comptant sur les autres… |
| | Génial. Continue va je veux svaoir ce qui se passe moi! Jolie la référence à Candide, c'est bien amené! ^^ |
| | lol en fait je pensais ne pas l'avoir finit mais je peux très bien le terminer tel qu'il est, puisque c'est une nouvelle, pas besoin d'en faire 10 pages. Surtout que si je n'ai pas continué au delà du chapitre 4 c'est parcequ'il n'y a plus d'intérêt. Chapitre III. « Tu ne veux pas parler, malgré la souffrance de tes équipiers ? » lui dis-je. Il me fait un signe de tête signifiant la négation. Il est définitivement impossible de leur faire sortir un mot de leur bouche… Je lui dis alors : « Très bien, puisque tu ne veux pas parler, ça ne te dérangera pas que je te coupe la langue ? ». Il me fait un geste montrant qu’il s’en fout. Alors je m’exécute, je lui enlève sa cagoule, lui fait ouvrir sa bouche, je cherche sa langue….Il n’en avait pas. J’en déduis donc qu’un mec les a envoyés ici pour venir me chercher, et que pour être sûr qu’ils ne parlent pas, il leur a coupé la langue. Alors quelqu’un en a après moi….se serait-on aperçu de mon pouvoir ? Cela m’étonnerait fortement… Enfin bon, je serais curieux de savoir qui me recherche, et étant donné que je n’ai rien à faire de mes journées, je vais mener ma petite enquête… Les mecs venus me chercher ne me serviront plus à rien maintenant…Autant les tuer. Trois jours s’écoulent tranquillement, la routine. Je n’ai aucun indice, rien pour appuyer mon enquête. Personne ne vient m’agresser…Quelle vie ennuyante ! Je pourrais m’amuser beaucoup plus si je transformais ce monde en chaos, mais l’intérêt est moindre, et une fois qu’il n’y aurait plus personne sur cette planète, que ferais-je ? Je pourrais aussi tenter de vivre normalement… Vivre la vie ennuyeuse et monotone de tout le monde, travailler, manger, travailler, dormir, travailler…Que cela doit être agaçant ! Si j’étais obliger de vivre comme tout le monde, je crois que je me serais déjà suicider. On dit que le travail éloigne trois grand maux qui sont l’ennui, le vice et le besoin. Et bien moi je vois qu’il apporte le malheur plutôt. Ne pas pouvoir faire ce que l’on veut…Etre dépendant d’un job…Mais je m’éloigne du récit. Je me réveille, il est 8h05. Seulement ? Je vais encore devoir m’ennuyer durant toute une matinée. Je me suis couché exprès à 4h38 du matin. Pourquoi ne sent-je pas cette fatigue que ressente les autres ?... Je sais que je ne suis pas normal. Je ne m’en complexe pas, je suis supérieur aux humains. Bon j’arrête la vantardise. Je me lève comme d’habitude, puis lorsque je suis prêt je décide de faire un tour dehors, il est 10h23. Je marche tranquillement dans la rue, pas un chat. Je m’engage dans une petite ruelle bien sombre, des tâches de sang sur les murs, des tags, des carreaux cassées, des canettes de bière sur le sol. Et au bout de la rue, un énorme camion blanc qui bloque le passage. Bon…C’est ainsi. Je me retourne et revient sur mes pas, et là je vois un camion, identique, qui se gare juste devant l’autre bout de la rue. Raaah ils le font exprès ou quoi ? Je me suis fait prendre dans un guet-apens apparemment, il faudrait être idiot pour ne pas s’en apercevoir. Sur chacun des deux camions, il est écrit, en grandes lettres majuscules noirs, le mot « OSCOC ». Probablement les initiales…de la société qui me fait un traquenard. La réponse à ma recherche que j’avais si désespérément abandonnée ? Une dizaine d’hommes sortent de chaque camion et pénètrent la ruelle. Qu’ils sont naïfs, ce n’est pas une vingtaine de vulgaire petit sbire qui m’arrêtera. J’entend des bruits plus haut, je lève les yeux et je vois…Oh ! Du renfort ! Il y a également des hommes qui descendent dans la rue du haut de l’immeuble avec leur corde. Ils ont tous le même accoutrement ridicule : un costume moulant, jaune, une cagoule de la même couleur, qui semble être en métal, vitrée au niveau des yeux, d’un verre teinté de bleu-vert, afin qu’ils puissent voir leur victime. Une trentaine…contre un seul homme. De trois commandos d’élite surentraînés et super équipés, ils sont passés à une trentaine de bouffons qui se prennent pour les power rangers. Ils m’entourent à présent, me fixent, en tournant autour de moi. Cependant il y a une chose étrange…. Quelque chose qui ne m’est jamais arrivée auparavant…Je ne sens pas leur membre. Le contrôle mental…ne marche pas sur eux. Comment cela se fait-il ? Sont-ils humains ? Au loin je vois un homme, habillé normalement, lui, il s’approche de moi et de sa troupe, je le dévisage petit à petit malgré le brouillard qui règne dans la ruelle, et….Horreur ! J’ai l’impression de me regarder dans une glace. Le même visage. Ce mec me ressemble comme deux gouttes d’eau ! Un frère jumeau ? Serait-il comme moi ? Je n’arrive pas à le contrôler non plus…Que se passe t-il ? Serais-je dans un mauvais rêve ? Non, c’est impossible. Ce mec…mon sosie, contrôle t-il tout ces hommes autour de moi ? Ce qui m’empêcherait de les contrôler moi-même… J’ai enfin trouvé ce que j’ai toujours voulu…un être comme moi. Certes, je ne suis plus l’être le plus puissant au monde, invincible, mais j’ai une distraction à présent. Un rival. Il doit être aussi fort que moi. Je sens une très grande joie monter en moi, je vais me battre…comme un homme normal, sans pouvoir…Il est temps d’utiliser ce que j’ai appris du Kung-Fu depuis deux ans que j’en pratique. L’homme s’arrête derrière la foule de sbire qui m’entoure, il me regarde froidement, mais avec un sourire aux lèvres. Puis il déclare, d’une voix identique à la mienne : « Attrapez-le !». Un des sbires sort du regroupement et s’avance le premier vers moi. Il fonce les poings serrés et saute, le pied en avant, tel un pur ninja, il arrive à vive allure, je me jette sur le côté en guise d’esquive. Un autre s’approche de moi, je profite d’être à terre pour lui faire un croche-pied, il saute par-dessus ma jambe, je me roule à terre pour pas me faire écraser par ce fou et me relève, un troisième s’approche de moi, il tente de me donner un coup de poing que j’esquive, je profite de ce laps de temps très court pour donner un coup de pied dans les côtes du sbire qui, sous la douleur, se penche en avant. Je le prend par la taille et le projette à terre quelques mètres plus loin. L’un des soi-disant « ninja » glisse sur le sol et me fait tomber en se prenant dans mes jambes ! Je tente alors de me relever mais l’un d’eux profite de mon moment de faiblesse pour me frapper dans le ventre. Ils se jettent tous sur moi et me rouent de coups. Pour la première fois de ma vie, je sais ce que signifie « avoir mal ». Oui j’ai mal, je souffre énormément. Tout ces coups donnés à pleine puissance sur chaque partie de mon corps. Mais vous, lecteur, vous vous en fichez. Vous vous dites : « Qu’ils le tuent ce salaud de narrateur ! ». Oui, « narrateur ». Je ne me suis pas présenté. Cela vous intéresse t-il de savoir le nom d’une ordure comme moi qui tue ces « pauvres » gens dans la rue et les insulte ? Je sens la mort venir en moi…Je n’ai même plus la force de me relever, je ne sens plus mes membres. Voilà ce qui arrive avec ceux qui jouent avec le feu. Soudain un miracle ce produit. Mon « sauveur » - je me suis rabaissé à l’appelelr ainsi…- cri : « Arrêtez !!! Ne l’amochez pas trop, il faut qu’il soit encore en vie à son retour…chez lui.». Tout les coups s’arrêtent. Me voilà sauvé… Ils vont me ramener chez moi, ils voulaient simplement venger leurs trois guignols que j’avais si sadiquement tués. Mais ce n’est pas la fin, non, je veux savoir qui est mon double. Je veux connaître sa vie, son pouvoir, pourquoi me ressemble t-il ? Je veux me battre contre lui. Je ne veux pas qu’il se dise que je suis un minable qui se fait massacrer par une petite trentaine d’hommes. En pensant à tout cela, je ferme doucement les yeux. J’entend des voix, des bruits, des sons difformes…Je perd finalement connaissance… A mon réveil, je suis attaché à une table. Il fait noir. Il fait froid. Ou suis-je ? Combien de temps s’est il écoulé ? On ne m’a pas ramené chez moi, on m’a fait espérer pour rien…Serais-je…chez « LUI » ? Impossible de me détacher. En plus, j’ai un casque en métal posé sur ma tête. Aie…J’ai mal partout…La douleur me démange. Va-t-on me laisser mourir là ? Je suis pitoyable à présent…Moi qui me croyait invincible, immortel, tout-puissant…Il me suffit de voir l’un de mes semblables pour que je sois dans une situation merdeuse…Non ! Non ! Nooooon !!!!!! |
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