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Yamato Katsuki
Il se laissa entrainer par Yumi jusqu'à destination. Elle lui présenta alors une immense demeurre au milieu d'une immense cours cloturée par un immense portail! Il écarquilla les yeux devant le palais en restant planté devant le portail, et s'exclama :

"Waaah, c'est gigantesque!!!!"

Il se retourna vers Yumi et lui lança un grand sourire en ajoutant:

"Je savais pas que tes parents étaient si riches!"

Mais en voyant la tête que faisait Yumi, il se tût et regretta ses paroles. Cela avait l'air de la gêner qu'il voit sa maison, on aurait même dit qu'elle n'aimait pas l'endroit oû elle habitait. Le sourire de Yamato disparut de son visage pour se transformer en une expression gênée.

"Bon ben...Je vais y aller..."

Il regarda une dernière fois son chateau en se disant que s'il vivait dans un tel palace il se perdrait tous les jours, puis son regard revint sur Yumi. Elle allait trouve ridicule la maison de Yamato à côté de la sienne, ils n'appartenaient pas vraiment à la même classe...
Yumi Nara
Elle dut réprimer une grimace désaprobatrice. Elle n'avait pas franchement envie qu'il voie ou elle habitait. Elkle ne connaissiat pas d'endroit plus immonde et dégoutant que cette demeurre. Enfin, ce palais... Une merveilleuse prison dorée. Mais bon, les autres vaient l'air de la trouver magnifique.
Elle sourit cependant et le conduisit chez elle en le priant intérieurement de ne pas être impressioné par ce tas d'immondis. Quand ils furent arrivés à destination, elle présenta le portail avec un sourire peu convaincant.


Ben... Voilà.
Yamato Katsuki
Yamato se sentit rougir de plus belle lorsqu'elle lui prit la main. Au début, la sienne était un peu tremblante, mais celle de Yumi était si douce qu'elle apaisa Yamato et réduit considérablement son 'stess' de ne pas assurer. Finalement, il serra la main de Yumi dans la sienne, le coeur battant, et profitant de ces derniers moments, mais il réagit quelques minutes après qu'elle avait voulu le raccompagner, et il lui répondit:

"Non! Je...C'est moi qui doit te raccompagner!...Comme ça, je verrais oû tu habites! ^^ "
Yumi Nara
En entendant ces mots, elle sentit son coeur se serrer d'angoisse. Pas tant parce qu'elle devait se séparer de lui, elle savait très bien qu'elle le retrouverait d'ici le lendemain. Mais simplement parce que seule, loin de ses bras, loin de la magie de leur monde, dans la réalité, continuerait elle à y croire? Parviendrait elle à repusser es doutes qui l'envahiraient toute la nuit? Parviendrait elle à se convaincre que le jeu en vallait la chandelle? Elle en doutait...
Elle se redressa néammoins et parvint à lui sourire avec douceur avant de murmurer d'une voix un peu déçue.


Oui... Moi aussi je vais devoir rentrer. Je t'accompagne.

Elle se releva et lui prit la main pour qu'ils marchent tous les deux. Cette main... Son dernier contact avec lui. La dernmière chose qui lui permettait encore de ne pas douter
Yamato Katsuki
hj : j'm'en fiche moi, j'préférerais que tu répondes 3 lignes tout de suite que 5 pages après 2 semaines d'attente...en plus que veux tu que je réponde à ça?...


Yamato resta un long moment contre Yumi, rêveur. Il ignorait le temps qui s'était écoulé et ne s'en préoccupait pas. Mais alors qu'il appréciait ce moment comme la grasse matinée du dimanche matin, son téléphone sonna et le fit sursauter légérement, le réveillant de son somme. Il lacha brusquement Yumi involontairement, et décrocha son téléphone.

"heu oui allo?...Maman?...heu je suis...parti faire un tour...Quoi? On mange déjà?...Ah, il est déjà cette heure là...Bon bah j'arrive tout d'suite!"

Il raccrocha et regarda Yumi d'un air désolé. Il baissa la tête et lui dit tristement :

"Désolé...Je dois m'en aller..."
Yumi Nara
hj: Bon sang arrête d'écrire des romans je me sens coupable de pas répondre beaucoup après... =.=

Pendant que Yamato se faisiat son petit film personnel, Yumi, elle, commençait à angoisser légèrement. Après tout, elle s'était toujours refusé à attacher de l'importance aux gens qui l'entouraient.. Tout simplement parce que tous les gens qu l'entouraient se fichait totalement d'elle et de ce qu'elle pouvait ressentir. Mais Yamato...
Lui l'aimait. Il l'aimait soncèrement. Jamais il ne lui aurait demandé de faire quelque chose qu'elle ne voulait pas, et jamais il ne lui aurait donné l'impression qu'elle était une moins que rien. Auprès de lui, elle parvenait à s'aimer. Ou du moins à se tolèrer. Et pour elle, c'était un véritable miracle.
Mais l'aimait elle? Elle n'en svaiat fichtrement rien. Elle ne le connaissait que depuis quelques jours et encore. Elle aimait ses qualités, ne connaissait pas encore ses défauts. Donc elle ne pouvait pas prétenre l'aimer réèlement. Pourtant, quand elle était près de lui, elle se snetait tellement bien. Il avait le don d'effacer en un clin d'oeil tous ses soucis, la remplissait de bonheur à chaque mot qu'il prononçait et par dessus tout, il relevait considèrablement l'estime qu'elle portait à l'humanité. Avec lui, elle avait la sensation que le monde était meilleur. Tout paraissait plus beau quan dil était près d'elle. Plus simple, plus juste, plus indulgent. Grace à lui, elle souriait. Elle souriait vraiment. Et elle riait de bon coeur. Tout était tellement simple au crex de ses bras...
Mais était ce de l'aour? Peut être bien. Alors il faut croire que l'amour est un sentiment particulièrement égoiste. Ce qu'on aime chez l'autre, c'est l'image qu'il nous donne de nous même? C'est la sensation de paix qu'il nous apporte? On l'aime pour ce qu'il nous fait ressentir, pas pour ce qu'il est. Ou alors, c'était juste elle qui ne tournait pas rond. Elle était égosite et elle le savait. Elle ne l'avait pas toujours été, mais à force de faire des efforts qui tombaient à l'eau à chaque fois, on finissait par ne plus en faire. Et c'était justement ce qui lui faisiat peur auprès de Yamato. Il allait lui demander des efforts qu'elle ne voulait plsu faire. L'effort de s'attacher, de se confier, d'ouvrir un peu le mur de glace qu'elle s'était confortablement forgé autour du coeur. Il ne le voyait pas encore ce mur, mais il finirait bien par s'en apercevoir. Quand il commencerait à lui demander des choses. Des choses toutes simples, dont elle serait incapable. Quitter ce lycée pour lui par exemple. Elle ne voulait pas. Elle ne voulait pas tout abandonner pour un autre. Un qu'elle ne connaissiat pas et qui risquait de foutre son équilibre ne l'air. Elle avait été tellement habituée à cet équilibre qu'elle le préfèrait au bonheur. Le bonheur était inconnu, il lui faisait peur. L'équilibre lui, était noir et maussade, mais il ne risquait rien...

Yamato Katsuki
Lorsqu'elle dit qu'elle sortait avec un autre que Kael, son coeur fit un énorme bond dans sa poitrine et amplifia les battements. Sortir avec elle...Yamato ne pouvait concevoir une telle idée. Le fait que Yumi accepte de sortir avec lui, c'était nouveau pour lui. A la fois nouveau dans sa réalité, mais vieux dans ses rêves. Car ça faisait un moment qu'il le voulait, qu'il le souhaitait plus que tout. Il n'arrivait pas à penser qu'une telle chose puisse se réaliser, alors qu'il avait passé des années à se dire à contrecoeur que c'était impossible, en espérant bien sûr le contraire. Mais apparemment, maintenant, c'était officiel. Ils sortaient ensembles. Pourtant, ça semblait un peu précipité pour Yamato. C'est vrai, lui, il l'aimait depuis des années, mais elle? Elle n'avait appris à le connaitre que quelques jours plus tot, comment avait-elle pu tomber amoureuse de lui en si peu de temps? Cela paraissait incensé. Pourtant, sous le charme, Yamato savait qu'elle était sincère. Mais, qu'allaient-ils faire par la suite, à présent? Qu'elles allaient être les conséquences de cette relation? La vie de Yamato allait être totalement changée. Il n'allait plus avoir à espèrer maintenant, et puis, vu que c'était sa première relation amoureuse et avec la seule fille qu'il avait aimé durant toute sa vie, il était persuadé qu'ils resteraient ensembles jusqu'à la mort, même si en réalité c'était bien rare dans les couples qui se formaient à l'adolescence. Yamato ne savait rien des relations amoureuses en réalité, et il n'aurait jamais soupçonné le fait qu'une telle relation entre deux adolescents puissent se terminer un jour, c'est pour cela qu'il était persuadé qu'il vivrait avec elle jusqu'à la fin de leurs vies.
Il ferma les yeux, en la serrant dans ses bras toujours, et commença à imaginer leur avenir.

Une petite maison tranquille à l'abris des méchants, le chant des oiseaux les réveillant au petit matin, leurs enfants leur servant le petit-déjeuné alors qu'un fin rayon de soleil traversait le rideau blanc et éclairé suffisemment la pièce. Et par dessus tout, Yumi lui adressant un sourire d'ange à son réveil, dans ses bras...

Mais lorsqu'il rouvrit les yeux, il retrouva la réalité. Pour l'instant, ils étaient encore au lycée. Sous l'autorité de leurs parents. Les riches parents de Yumi n'accepteraient probablement pas qu'elle vive avec un modeste garçon de la classe moyenne...D'un côté, ils n'auraient plus leurs mots à dire une fois que leurs enfants seraient majeurs. Il fallait donc patienter deux années, juste deux années avant que la vision idéaliste de son avenir radieux avec Yumi ne puisse se réaliser.

Au bout d'un moment, ressentant un léger vent froid du soir souffler sur eux, et un frisson parcourir son corps, il serra d'avantage Yumi dans ses bras. Les gestes parlent parfois beaucoup plus que les mots.

Yumi Nara
Elle eut un sourire endormi, heureuse qu'il l'ait enfin compris et murmura d'une voix calme.

Non tu as raison. Ca ne change rien.

Elle poussa un soupir las et referma les yeux. Elle aurait voulut pouvoir s'endormir là. La première nuit de sa vie ou elle avait réèlement envie de dormir. Mais c'était impossible. Elle avait beau chasser cette idée de sa tête, elle revenait sans cesse. Même avec toute la bonne volonté du monde, elle ne pouvait pa soublier complètement qu'elle avait une famille qui d'ici une dmei heure allait lui lancer des appels paniqués pour savoir ou ets ce qu'elle était passée.
Elle rouvrit donc les yeux pour chasser le sommeil et poursuivit sur sa lancée.


Et puis tu sais, ils n'en ont pas grand chose à faire.. Le fait que je sorte avec un autre que Kael ne les dérange pas. Il ne faut pas croire que je suis le cnetre d eleur monde non plus
Yamato Katsuki
Yamato resta silencieux un moment. Lui, il pourrait facilement convaincre ses parents de changer de lycée. En fait, ils lui avaient déjà proposés après la mort de son frère pour éviter qu'il subisse le même sort. Mais Yamato avait refusé, car il voulait rester dans le même lycée que Yumi, quitte à en mourrir.
C'est vrai que Kiriyama s'en fichait qu'ils soient ensembles, mais il était dangereux, et faisait parti des Kuroi. Quand à Kael...Yamato ne voulait pas qu'il s'en prenne à Yumi sous prétexte qu'elle ne soit plus avec lui. Et il n'aurait pas été le seul. Beaucoup lui aurait reproché de sortir avec un faible comme Yamato, de faire la honte des Tsuki en sortant avec le plus faible et le plus inutile d'entre eux alors qu'elle était un peu leur mascotte...


"Yumi...Ce n'est pas pour moi que j'ai peur...Mais, je ne veux pas te causer d'ennuies...Je ne veux pas qu'ils te reprochent certaines choses à cause de moi..."

Yamato resta silencieux un moment, et la dévorait du regard. Elle était si belle, si douce...Et elle était attachée à lui. Son coeur ne cessait de battre le plus vite possible, alors que le visage de Yumi était collé à son torse, et qu'il avait ses bras entourés autour de son corps. Tout cela le gênait un peu, mais en même temps, c'était si bon...Il ne voulait pas se détacher d'une telle sensation. Il aurait voulu rester dans cette posture toute la nuit.
Puis il revint à la réalité...


"Mais tu as raison...Croire que l'on pourrait s'échapper...si facilement, c'était vraiment...stupide!...Alors, il ne nous reste plus qu'à attendre...De toutes façons...Le regard des autres ne compte pas, n'est-ce pas?"
Yumi Nara
Elle sourit à cette proposition. C'était doux de rêver... Rêver qu'il l'emmène loin,. peut être même à l'étranger, loin de cette prion dorée. Qu'ils aillent étudier ensemble et finisse le retse de leur jour à sourire à la chance qu'ils avaient su saisir. Oui... Tout ça n'était qu'un doux rêve. La réalité ne se passait jamais comme ça. Elle murmura d'une voix douloureuse.

Tu oublies nos parents respectifs. Mon père ne me laissera jamais quitter ce lycée. C'est todai ou rien. Il faut que j'ai ma majorité pour me rebeller et aller en école d'art. D'ici là, on ets forcés de subir. Enfin, Kiriyama s'en fiche éperdument lui... Et Kael... Il n'a pas assze de cran pour vraiment se vanger.
 
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