Dernières réponses | | Il caressa doucement ses cheveux et lui murmura qu'il l'aimait plus encore. Il ne broncha pas lorsqu'elle lui coupa la respiration à force de le serrer contre elle et n'en avait rien à foutre de sa chemise. Il dit au bout d'un moment. " Je ne vois pas comme je pourrais te quitter étant donné que quoique je fasse, tu es partout avec moi. " Il sourit et l'embrassa dans les cheveux avant de demander. " Tu as faim ? Parce que tu sais que je suis un excellent cuisinier... " |
| | Elle eut un rire secoué de nouveaux sanglots. Elle commençait réèlement à se snetir stupide à pleurer comme une idiote. Elle n'arrivait pas à s'arrêter. Se blotissant contre lui, elle le serra de plus en plus fort contre elle, quit à l'étouffer pourvu qu'elle ne déserre pas son étreinte. Si tu savais comme je t'aime... Ne me quitte plus. Plus jamais. Elle mouilla encore longuement s achemise de larmes et finit bien par se calmer. Elle vaait vidé toute l'eau qu'elle avait en réserve. Les yeux exténué de toutes les larmes qu'ils avaient versés, elle finit par les fermer, trop epuisée pour faire le moindre geste, et trop fatiguée pour dormir |
| | Il sourit et la serra contre lui. Il était tellement rassuré qu'elle veuille bien lui pardonner. Il avait été stupide de garder cette rancoeur au fond de lui et regrettait par dessus tout ce qui venait de se passer. Il aimait Kisa, même s'il n'osait se l'avouer et n'espèrait réellement pas autant de sa part. Il l'embrassa sur le front et murmura tendrement. " Disons qu'il fait nuit, je ne vois rien, je sens également le tabac donc j'ai perdu un peude mon odorat...ça te va comme réponse ? ^^ " |
| | Elle fut à la fois surprise de ce baiser si soudain et comme libèrée d'un poids énorme. Elle mit ses dernières forces à y répondre et finit par s'écarter, lachant ses derniers sanglots. De slarmes automnatiques cetet fois. Comme si elle devait rattrapper toutes les fois ou les larmes n'étaient pas venues. Elle souriait derrière ses sanglots et mit un moment avant de murmurer, la tête baissée. Attends, je suis dégoutante. Je sens le tabac froid à des kilomètres, je suis trempée, mon mascara a coulé et j'ai l'air d'un zombie. Je ne comprends pas comme tu peux encore m'embrasser. Elle lui lança un sourire un peu tremblant et s'essuya les joues avant de renifler bruyemment. Elle n'avait pas de mouchoir. Pa strès malin ça. Elle se snetait complètement stupide, à pleurer comme une gamine de 5 ans qui vient de recevoir le cadeau dont elle rêvait. Elle avait honte qu'il la voie comme ça. Si elle avait pu, elle aurait disparu dans un trou de souris. Elle n'apréciait pas vraiment qu'on puisse voir une telle faiblesse chez elle. Réflexe autodéfensif. Et pusi face à lui... Elle avait presque le snetiment de ne plus être à la hauteur |
| | Il fut tellement soulagé d'entendre ces mots qu'il la prit à nouveau dans ses bras et la serra fort contre lui. Il ne pleurait plus et voulut s'excuser mille fois. Elle avait raison. Il n'avait pas réussi à faire le deuil de Raito et ne l'avait compris que trop tard...enfin, c'est ce qu'il croyait. Il était fou de Kisa mais sa dette envers Raito l'empêchait d'agir et il cherchait toujours plus, toujours trop. Il murmura tendrement. " Si je suis revenu aujourd'hui c'est parce que j'ai compris mon erreur, si grande soit-elle. Je t'aime et ces mots je n'espèrais pas les entendre de ta bouche...J'ai fait mon deuil et je regrette de t'avoir mêlée à tout ça. Je t'aime... " Il la regarda, un léger sourire sur ses lèvres se dessinant et l'embrassa comme s'il l'embrassait pour la première fois, comme si leur vie en dépendait... |
| | hj: Mais non!^^ Quand il la prit dans ses bras, elle tenta de se débattre de toutes ses forces. Non pas que l'envie n'y était pas... Depuis le temps qu'elle pleurait de ne pas avoir ses bras pour l'entourer, la protèger, lui dire qu'elle n'avait pas tout gaché en vain... Mais là... Elle ne devait pas. Il evnait lui faire ses adieux après tout. Si elle restait dans ses bras, elle ne pourrait plsu s'en défaire. Elle se tuerait. Elle renifla bruyemment quan dil finit par la lacher et essuya ses larmes avant de regarder l'arme, l'air dégouté. Elle la repoussa d'un geste brusque et murmnura d'une voix étranglée par les sanglots. Si j'avais pu le faire, je l'aurais déjà fait edpuis longtemps... Elle baissa les yeux et resta un moment silencieuse, tremblante, convulsée par les sanglots interminables qui la secouaient san squ'elle puisse rien y faire, puis finit par lui lancer un regard perdu. Sousuke... Combien de temps encore t'éloigneras tu de moi? Combien de temps te voileras tu la face? Si tu m'a abandonnée l'autre soir, ce n'était pas par peur que Kiriyama m'attaque, c'était parce que tu ne voulais pas entendre ce que je venais de te dire. Chaque fois que je te touche, que tu me prends, que tu m'embrasses, il est là. Il est présnet dans chacun de tes gestes. Ta haine et ton amour pour lui t'empêche complètement de regarder ailleurs. Tu veux que je te dise que je t'aime? Parce que c'est vrai, je t'aime! C'est blessant, ce n'est pas ce que j'ai voulut et j'aurais préfèré me tuer plutot que de subir ça mais c'est là. Ce sentiment est en moi à chauqe fois que je respire. Je t'aime et il en sera toujours ainsi. Mais là... Je ne peux pas. Les ménages à trois, ce n'est pas mon truc. Je m'en veux de te poser un ultimatum aussi cru mais c'est lui, ou moi |
| | Il attendit. Il attendit qu'elle rompe ce silence plus lourd que jamais. S'il avait un poids, celui-ci devait être trop lourd pour qu'un homme puisse le supporter. Il avait envie de s'agenouiller, de la supplier, d'hurler combien il s'en voulait mais il comprenait parfaitement qu'elle ne veuille plus entendre parler de lui. C'est alors qu'elle lui lança cette remarque cinglante. S'il avait été comme d'habitue, il aurait éclaté de rire et lui aurait rétorqué qu'elle était toujours fidèle à elle-même mais en cet instant...elle venait de planter une arme dans son coeur, pour la deuxième fois. Il aquieça, les larmes aux yeux et détourna son regard. Elle continua cependant, trouvant que cela n'était pas assez et même s'il comprenait et pensait qu'elle avait tous les droits de le faire souffrir, il détestait ressentir ça. Combien il aurait voulu recommencer, retarder le soir où il l'avait quittée...mais c'était impossible. Il la regarda et vit ses larmes qu'elle tentait de refouler. Il écouta attentivement les reproches et les questions, sans broncher, sans essayer de rétorquer quoi que ce soit et fini par s'agenouiller face à elle. Il avait envie de la prendre dans ses bras mais savait qu'elle le repousserait. Tant pis...après tout, il ne risquait plus rien et avait déjà tout perdu. Il la serra contre lui en sentant les coups. Elle se débattit violemment mais il se fit plus fort encore et la tint contre lui. Il chuchota tendrement. " Saute et je te suivrai. Si tu décides de te tuer je te suivrai, quoique tu en dises. " Elle tentait encore de se débattre mais Sousuke tint bon. Il prit son visage dans ses mains et dit d'une voix parfaitement claire, forte et attendrie par ses larmes. " Regarde-moi ! Kisa regarde-moi ! Tu es la seule que je suis incapable de détester, quoique tu fasses, quoique tu ais fait...Je n'essaye pas de te blesser plus que je ne l'ai fait, je veux simplement...je veux que tu saches que je n'ai jamais autant regreté ce que j'ai fait. " Sa voix tremblait mais il pleurait en silence, ses larmes coulant lentement sur ses joues, son regard plongé dans celui de Kisa. " Je vais te le redire encore une fois parce que je veux être sûr que tu l'entendes. Je t'aime. J'aime pour la première fois et je crois qu'on peut m'accorder la maladresse du débutant parce que...jusqu'à présent je ne savais pas. Je ne savais pas ce que tu représentais pour moi et je l'ai compris trop tard. Je m'en veux et je me déteste pour ce que je t'ai fait. " Il lâcha doucement son étreinte sans cesser de la regarder. " Si tu veux foutre en l'air la vie d'une personne, tue-moi. Tu as toutes les raisons nécessaires pour me tuer alors fais-le. Personne ne me regrettera et tu seras enfin libre. " Il lui tendit une arme, un revolver qu'il portait toujours dans sa veste. Il attendit qu'elle le prenne et tire. hj: pitié ne le tue pas ! |
| | Elle entendit qu'on montait le smarche set ferma les yeux avec dépit. Qu'est ce qu'elle avait fait au bon dieu pour mériter ça? Elle ne pouvait pas être tranquile deux seconde non? Personne ne venait jamais là d'habitude. Elle regarda la personne qui venait d'interrompre sa lethargie amoureuse e fut tellement choquée qu'elle cligna plusieurs fois des yeux pour vérifier que ce n'était pa sun cauchemard. Pour un peu, elle se serait donné des giffles pourvu qu'elle s eréveille. Elle l'écouta parler et fut bien forcée d'admettre que c'était parfaitement réel. Au simple son de s avoix, elle sentit à nouveua des larmes lui bruler la gorge. Elle l'aurait interrompu si elle avait pu, mais si elle ouvrait la bouche maintenant, elle allait s'étouffer dans son chagrin. Elle finit par pivoter la tête vers le ciel et continua à fumer, en apparence parfaitement indifférente à son discours, intérieurement bouillonant de rage et de douleur. Comment osait il? Comment osait il lui parler ainsi? Faire le chien battu devant elle comme ça? Ce n'était pas elle qui l'avait plaqué! Retourner le couteua dans la plaie comme on dit... Elle avait l'impression que ce couteau avait déjà fait 100 tour sur lui même sans s'arrêter. Elle laissa un silence pesant s'installer entre eux, histoir ede le faire un poeu souffrir... C'était tout ce qu'elle pouvait faire désormais. Se taire et le laisser mariner dans ses remords en silence, le temps de faire comprendre à sa tête qu'elle devait arrêter de tourner, son corps d hurler et son estomac de se contracter sans cesse. Elle s erepassa chacune de ses paroles en boucle comme un film en accéléré. La plus choquante demeurra, "je vais changer d'établissement quoique tu décides"... Elle faillit vomir et eut un tréssaillement. La seule idée de ne plus le voir lui donnait envie de se jeter immédiatemnet de ce toit. Mais peu importe. Elle en lui dirait pas. Pas tout de suite. Encore un peu. Quelques secondes. Tout ce qu'elle désirait pour le moment, c'était qu'il passe les seconde sle splus longue de sa vie. Qu'il s'étouffe dans ce silence et qu'il comprenne sa douleur... Qu'il voie à quel point il lui avait fait mal. Qu'il entende ce silece assourdissant qui lui déchirait les tympans depuis des jours. Elle voulait lui faire mal, le faire payer pour ce en quoi il avait osé la changer. Le slarmes ne coualeint pas encore et elle les en remercia platement. Elle ne voulait pa spleurer. Pa smaintenant. Pa sencore... Bon allez, soyeons raisonable, elle ne tiandrait plus longtemps. Une dernière réplique conglante pour l'achever et elle pourrait mourrir avec lui. Elle murmura d'une voix légèrement tremblante, mais parfaitement froide et mauvaise. Tu as répèté ton petit discours combien de temps? Elle s eredressa, alluma tranquilement une cigarette et affronta le regard complètement anéanti qu'il lui lançait. Il n'avait pas l'air de comprendre pourquoi tout à coup, elle était si indifféérente. Elle parvint à sourire de plus belle et poursuivit sur le même ton. Tu ne comprends aps hein? Tu vois ce que ça fait? J'espère pour toi que tu as mal, parce que même comme ça, tu es bien en dessous de ce que j'ai pu vivre. Il fautr reconnaitre une chose, c'est que ce fut joué d'une main de maitre. Tuer l'adversaire à son propre jeu, c'était joli... Tu m'as battue à platte couture. Elle fuma à nouveau sur sa cigarette, pour ne pas montrere que si elle se taisiat, c'était parce que sa voix se brisiat à chauq eparole. Dans un dernier élan de courage,elle reprit, gardnat toujours un ton glacial. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi... Et là, elle se brisa. Cette question là, si elle avait été moins stupide, elle ne l'aurait pa sposé. De slarmes se mirent à faire briller ses joues et cette fois ci, elle lui lança un regard de détresse, de haine, de douleur et d'incompréhension totale, et finit par murmurer dans un gémissemnet totalement désespéré Pourquoi être venu ici pour me dire ça? Pourquoi me dire tout ça? Pourquoi me faire subir à nouveau ce qui m'a déjà tuée la première fois? Tu me hais tant que ça... Qu'est ce que je t'ai fait pour que tu me fasses si mal... Personne ne mérite ça. Pourquoi? Tu m'as détruite, tu m'as déjàé détruite une fois. Ne recommence pas je t'en supplie. C'était bien la première fois qu'elle suppliait un homme. Elle renifla bruyemment, essuya ses joues d'un geste rageur etserra ses jambes contre sa poitrine, les yeux rivés vers le sol, avant de reprnedre d'une voix un peu plus calme. Un peu... Si tu t'n vas, je te jure que je me fous en l'air. |
| | Après son entretien avec Akemi-san, Sousuke commençait réellement à avoir des doutes quant au comportement de Kisa. Il la voyait souvent et elle se gardait bien de lui montrer qu'elle était faible. Pourtant, il avait essayé vainement de la trouver. Il cherchait depuis des jours à lui parler, il voulait s'excuser et lui avouer tout ce qu'il gardait en lui. Quit à paraître stupide, il voulait vraiment tout essayer pour la récupérer. Il savait que sa fierté était en jeu mais peu importe. Il l'observait constemment. Quand elle n'était pas là, il la voyait partout : chez lui, dans la rue, en cours, chaque jeune femme qu'il trouvait avait quelque chose de Kisa sans pour autant être elle. Cela le rendait fou, malade et virait à l'obsession. Mais en fait, il comprit que depuis le début elle l'obsèdait. Il avait beau ouvrir et fermer les yeux, elle était toujours là. Son visage, son regard, tout...La journée terminée, il devait reprendre sa place de chef du clan...mais pourquoi faire ? A quoi bon tuer s'il n'éprouvait plus rien ? Seuls la solitude, le mépris de soi et la tristesse meublaient sa vie. Il devait la voir et elle devait l'écouter. Il décida de se prendre un temps de réflexion, seul, histoire de récupérer avant de la trouver. Il se dirigea vers le toit et la trouva. Allongée, une cigarette en bouche...Qu'aurait-il donné pour être cette cigarette ! Cela pourrait paraître stupide mais...personne ne pouvait comprendre la situation dans laquelle Sousuke se trouvait. Il monta les dernières marches et la regarda un long moment, réapprenant chaque partie de son corps. Elle remarqua rapidemment qu'il était làet avant qu'elle ait pû dire ou faire quoique ce soit, il s'empressa de dire. " Ne fais pas ça...S'il te plaît laisse-moi...laisse-moi juste deux minutes. Qu'est-ce que ça représente deux minutes, rien...Je te promets que...que je n'essayerai plus te revoir. Je vais changer d'établissement quoique tu décides... " Il s'avança légèrement, sachant pertinemment qu'elle allait peut-être hurler, le frapper et le haïr encore plus...mais il devait aller jusqu'au bout. Il croisa son regard et fut encore plus troublé. Celui-ci était noyé de larmes, certainement comme celui de Sousuke dans quelques minutes. Il ne pouvait pas la regarder, pourtant il se força et commença, la voix tremblante. " Si je t'ai dit toutes ces choses, c'était parce qie j'avais peur. J'étais tétanisé à l'idée que Kazuo apprenne que...que tu es mon point faible, que ces acolytes décident de te tuer pour une raison x ou y...Je n'arrêtais pas de me poser des questions sur ce que je ressentais pour toi et...plus j'y penser, plus je ne voyais qu'un seul mot. " Il marqua une courte pause et leva le regard, les yeux humides. Il se mordit la lèvre et continua. " Cela sautait aux yeux pourtant ! Mais...tu m'avais prévenu, comme si tu savais que j'allais tomber amoureux de toi. Moi aussi je savais pertinemment que tu ne pouvais pas aimer, que tu ne le voulais pas mais je persistais à croire qu'il y avait une chance, même infime pour que je sois autre chose pour toi. J'ai essayé...je te jures que j'ai essayé d'oublier, de penser à autre chose mais toi...tu revenais constemment. Je ne voulais pas te quitter et jamais je n'ai pensé ce que je t'ai dit. J'ai cru...j'ai cru devoir te protéger... " Il la regarda, triste et complètement perdu, presque anéanti. " Je te demande pardon pour avoir pris cette décision absurde. Je comprends le fait que tu me détestes, que tu me haïsses même à un point que je ne veux pas imaginer. Je t'aime et savoir que tu me méprises et bien plus insupportable que n'importe quelle torture. Pardon Kisa...pardon pour tout ce que je t'ai fait... " |
| | hj: Le nouveau forum de Yamato, Artificial Human, vas y il ets génial!^^ |
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