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Akemi Kura

Carpe Diem

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Posté le 29-03-2007 à 14:10:18

Elle était assise à son bureua et corrigeait tranquilement quelques copies en attendant l'arrivée du prochain élève sur s aliste de passage. En effet, après l'assassinat de Raito, il avait été admis de l'avis général qu'un suivi psycologique serait bon afin de vérifier la santé mentale des élpves. Akemi y voyait plutot un moyen de controler l'émeute. Dans un lycée comme celui là, il était évident que 90% de la population relevait de cas psychiatriques et il n'était pas nécessaire de les faire suivre pour s'en assurer.
Elle soupira et regarda sa liste. La plupart étaient passés. Et la majorité de ceux qui n'étaient encore pas venus n'étaient pa sune surprise. Elle les avait déjà entourés de rouge avant même qu'ils démontrent leur évidente mauvaise volonté. Cette sous liste concernait notemment Kiriyama et Hisagi. Elle aurait mis sa main au feu qu'ils tarderaient à venir ces deux là. Kiriyama parce qu'il n'avait en toute bonne foi rien à lui dire. Il s efichait éperdument de la mort de ce garçon et était d'ailleurs probablement responsable de son assassinat. Hisagi, lui, était plus complexe. Il était évidemment affecté par cette histoire mais tout le monde en ignorait la cause et il refusait catégoriquement d'en parler. Ce cas là allait être bien plus long que les autres.

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Kazuo Kiriyama

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Posté le 29-03-2007 à 17:35:13

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Bien que ça ça le désenchantait fortement de gaspiller son temps pour un tel rendez-vous, il était venu. Après tout, s'il n'avait pas l'intention de dévoiler quelque chose sur lui à cette femme, il pouvait cependant en apprendre long ur la psychologie humaine.
Il frappa à la porte et entra dans le bureau, les mains dans les poches et machant un chewing-gum.

"Bonjour..."

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Akemi Kura

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Posté le 31-03-2007 à 15:39:44

Lorsqu'elle entendit qu'on frappait à la porte, elle releva la tête d'un oeil distrait et dut prendre 5 bonnes secondes pour s eremettre de sa surprise en découvrant qui venait d'entrere,. Jamais elle ne se serait attendue à le voir aussi tot.
Elle finit par se redresser, une expression surprise peinte, et secoua al tête pour reprendre pied dans le mond eréel.

Bonjour Kiriyama. Assieds toi je t'en prie.

Elle rangea rapidement son bureau et entassa les copies en ne pile parfaite qu'elle décala sur le coté, avant de lu adresser un sourire d'excuse.

Tu me prends un peu de court là...
Euh, tu veux boire quelque chose? Café, lait, thé, eau? Je crois qu'en cherchant bien, je peux même trouver de la limonade.

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Kazuo Kiriyama

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Posté le 31-03-2007 à 16:19:02

Kazuo ne s'assit pas et fixait la femme en essayant de percevoir ses intentions, ses émotions ou autre qui aurait un rapport avec lui. Sur un ton neutre il répondit :

"Je prèfère rester debout et je n'ai pas soif, merci. Vous ne m'avez pas convoqué pour que je prenne un verre avec vous, venez en au fait."

Déjà qu'il n'avait pas vraiment envie de venir là, il se hatait maintenant de pouvoir sortir.

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Akemi Kura

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Posté le 31-03-2007 à 16:57:41

Elle haussa un sorucil dubitatif. Cette attitude ne la surprenait pas. Mais bon. Elle eut un sourrie légèrement amusé et haussa les épaules.

comme tu voudras. Mais tu va srester longtemps debout je te préviens. Et ce n'est pas le fait de ne pas t'assoir qui accèlèrera les choses.

Elle le scruta longuement dans les yeux sans rien ajouter, un sourire indéchiffrable peint sur les lèvres. Ce garçon débordait de confiance ne lui. Chose qui n'était aps étonante avec les louanges que sa bande lui livrait. Eh bien, il n'y avait vraiment pa sde quoi.
En 5 seconde de temps, elle avait déniché et répertorié tous les défauts qui faisaient de lui un mortel comme les autres. Physiquement, il avait un oeil plus petit que l'autre, une oreille légèrement décalée, une tenue vestimentaire extraordinairement négligée et imparfaite, ses cheveux auraient bien eut besoin d'un bon coup de peigne, et sa façon de macher du chewing gum lui donnait un air remarquablement bovin. Intellectuellement, il n'y avait malheureusemnet rien à redire. Il était incollable. Mais cette intelligence hors du commun était largement compensée par une absence totale de moralité absolument insupportable et une incapacité à tenir uen conversation correcte, ou même à faire de l'humour.
Ce garçon l'ennuyait profondemment.
Elle avisa un paquet de mouchori sur le bureua, prévu à l'usage des élèves émotifs et retint un rire, imaginant Kiriyama se répandre en pleurs sur la mort de son cher et tendre chef...
Une fois cette petite inspection faite, elle se sentait plsu à la'ise et prit une feuille.

Bon je t'explique le fonctionnement. Ce n'est ni un interrogatoire, ni un moyen de te coincer. Je me fiche de savoir si tu es ou non impliqué dans la mort de Raito, ce n'est pas de mon ressort. Je vais simplement te poser des question pour vérifier que tu n'as pas tro mal vécu cet incident censé êre tragique. Si je constate que tu en te sens pas bien, j'agirais en conscéquence pour essayer de ta'ider dans la mesure du possible.
Sache que c'est aussi une perte de temps pour moi et que je sais parfaitement que tu n'es pa sconcerné par une depression post mortem. Mais ce sont les ordres du grand patron tout le monde y passe.
Quelles relations entretenais tu avec Raito?

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Posté le 31-03-2007 à 17:06:50

Kiriyama regardait lassemment le plafond pendant qu'elle lui parlait du but de cette convocation. Puis son regard revint sur la femme lorsqu'elle lui posa une question. Il arrêta instantannément de macher son chewing-gum.

"Je ne lui parlais pas plus qu'aux autres."

Kiriyama essayait d'être le moins précis possible. Il ne tenait pas à ce qu'elle perce sa personnalité.

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Posté le 31-03-2007 à 17:10:52

Elle ne fit aucun commentaire et se servit du café, ne voyant pas vraiment l'utilité de noter un truc aussi bateau sur s afeulle. Elle ne savait pa spourquoi, mais elle snetai que ça allait être long. Le directeur lui avait demandé d'insister particulièrement sur le cas de Kazuo pour réussir à voir ce qui n'allait pas chez lui. Ce à quoi elle avait répondu qu'il était juste atteint psycologiquement et qu'elle n'était pas psychiatre mais il n'avait rien voulut entendre. Rsultat, elle allait être obligée de supporter cette séance pendant encor eminimum 15 minutes. Génial...

D'accord mais c'était quand même ton chef si j'ai tout compris à vos histoires. Tu avais l'impresison que c'était un bon guide? Tu devais bien avoir une opinion sur lui.

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Posté le 31-03-2007 à 17:27:22

Il garda la même posture en l'écoutant et en réfléchissant à sa rèponse. Kiriyama n'éprouvait aucun sentiment, il se fichait totalement de Raito. De toutes façons, rien ne l'empêchait de mentir à cette femme.

"Bien qu'il ne me l'ait jamais dit, je pense que Raito m'appréciait, et même m'admirait. Il ne me voyait pas comme tous les autres Kuroi. C'est pour cette raison qu'il avait décidé que je prenne sa place si jamais il venait à mourrir. Pour ma part, Raito ne me dérangeait pas, mais ne m'interessait pas non plus."

Kiriyama venait de comprendre que le meilleur moyen pour qu'il parte d'ici le plus rapidement possible, c'était de lui dire beaucoup de choses afin qu'elle le laisse tranquille, sans toutefois en dire trop sur lui. Il devait contrôler parfaitement ses dires et réfléchir à deux fois avant de parler.

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Posté le 31-03-2007 à 17:32:05

Elle hauss ales sourcils et ne put retenir un léger ricanement. Puis elle haussa les épaules et marqua le nom de Kiriyama sur la feuille.

Je ne pense pas que Raito ait été assez influençable pour admirer qui que ce soit mais je ne vais pas te contredire.

Elle hésita un moment avant d'écrire plus. Elle savait pertinemment que Kiriyama n'étais pas affecté par la mort de Raito pour la simple et bonne raison que l'hmanité ne valait absolument rien pour lui. Et elle aurait du le marquer. Mais bon, sa bonté la perdrait, elle ne voulait pas descendre un élève comme ça. Elle marqua donc "Aucun rapport direct avec Raito, il n'y a donc pas de raison que sa mort en particulier ait affecté son moral". C'était le mieux qu'elle pouvait faire. Puis elle releva les yeux vers lui.

D'accord, vous n'étiez pas proches. Mais l'idée qu'un élève de ton lycée ait pu être assassiné ne te perturbe pas? Désolée di je caricature mais bon, c'est quand même quelque chose de grave.

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Posté le 31-03-2007 à 17:40:47

"Les élèves de ce lycée qui meurrent ne se comptent plus. S'il fallait s'appitoyer sur le sort de chacun d'entre eux, nous n'aurions pas fini..."

Il dit cela d'une voix neutre et monotone, comme si la mort des autres ne l'affectait aucunement. D'ailleurs c'était le cas. Comment aurait-il pu s'affliger de la mort d'une personne qu'il considère neutrement? Cela ne veut pas dire pour autant qu'il était heureux qu'ils meurrent, puisqu'il ne les détestait pas non plus...

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Posté le 31-03-2007 à 17:48:00

Elle regarda longuement avant d'aquiescer d'un signe de tête un sourire à peine visible dessiné sur se slèvres.

Pour une fois on est d'accord. L'humanité n'a pas beaucoup de valeur. On va éviter de marquer ça dans le rapport hein?

Elle posa son stylo, bien décidée cette fois à lui épargner un interrogatoir eplus poussé par le directeur.

Ok je vais être franche. Il y a pas mal de monde ici qui craignent un peu ton caractère... Impitoyable disons. Tu devrasi agir avec plus de discernement parce que le directeur te surveille de près. J'étais censé être un outil de cette surveillance, mais tu a sde la chance, je n'en ai pas envie. Je te poserais encor edeux questions, par pur soucis de ta personne. Il y a une rumeur qui court sur toi par rapport à l'assassinat de Raito. Tu ne le vis pas trop mal? Beaucoup d'élèves t'en veulent tu sais... C'ets pas mal de pression à gèrer.

Message édité le 31-03-2007 à 17:49:38 par Akemi Kura

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Posté le 31-03-2007 à 18:59:30

Il se tenait toujours debout, droit, la regardant e l'écoutant, et affirma :

"Ce qu'ils pensent de moi m'est égale. Qui du chasseur ou du chassé doit mourrir? La rèponse est évidente...La vraie question à se poser est : Qui est le chasseur, qui est la proie? Lorsque l'on connait la rèponse à cette question, on peut tout prévoir. Alors aucune crainte ne vient déranger notre silence."

Bien qu'ils puissent paraître incompréhensibles, chaque mots avaient un sens précis pour Kiriyama. Etait-il le chasseur, ou bien le chassé? Le fait que beaucoup de personnes lui en veulent et donc voulaient le tuer faisait de lui le chassé, cependant, il pouvait aussi savèrer être un très bon chasseur lorsqu'il avait décidé de tuer ceux qui s'opposaient à lui. Il l'avait déjà prouvé. Il n'avait pas peur.

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Posté le 31-03-2007 à 19:08:37

Elle eut un sourire légèrmenet amusé et finit son café avant de rétorquer.

Inutile donc que je te demande si tu te sens vraiment ta place en tant que chef hein?

Elle ouvrit son tiroir et sortit une brochure d'un lycée en banlieue spécialisé pour les surdoués.

Tiens, J'ai pensé que ça pouvait mieux te convenir que ce lycée. Tu sembles t'ennuyer comme un rat mort iic et c'est je pense ce qui cause ta telle soif de "chasse". Penses y, ça m'a l'air d'être idéal pour toi.

Puis elle prit la copie de Kiriyama, mit quelques secondes à consatater que tout était juste et lui tendit sa feuille après avoir marqué un "excellent" en lettre parfaitement symétrique. Puremnet symbolique.

C'est très bien contnue comme ça. Tu peux y aller. Si tu croises Hisagi en curs, envoie le moi. je ne veux pa sfaire trainer cette histoir eplus longtemps

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Posté le 31-03-2007 à 19:30:08

Kazuo prit sa copie, se retourna et sortit du bureau après lui avoir dit au revoir. Il rangea la copie dans son sac, et continua son chemin tout en pensant :

*Si je croise Hisagi, c'est certain, l'un de nous deux disparaitra. Tout dépend de qui, de lui ou de moi, est le véritable chasseur.*

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Hisagi Sousuke

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Posté le 02-04-2007 à 11:20:46

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Il marchait simplement, les mains dans les poches et croisa Kiriyama. Il ne lui accorda pas un regard et fit comme si de rien n'était. Sousuke avait rendez-vous avec Mademoiselle Kura. Il ne la connaissait pas encore très bien mais les bruits qui courraient à son sujet faisait vent d'une très belle femme. Il se planta devant le bureau et frappa avant d'entrer.

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Posté le 02-04-2007 à 11:45:11

Elle entendit frapper à la porte et pensa qu'il s'agissiat encore de Kiriyama. Elle ne voyait pa strès bien pourquoi il pointerait à nouveau le bout de sa truffe mais elle ne voyait que lui.

Entrez.

En voyant Sousuke passer le pas de la porte, elle leva vers lui un regard étonné. Décidemment, elle allait de surprise en surprise.
Une fois remise, elle lui lança un sourire satisfait.

Je suis contente que tu sois venu par toi même. Assieds toi je t'en prie. Tu veux boire quelque chose?

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Posté le 02-04-2007 à 12:34:27

J'aurais accepté votre proposition avec joie si nous avions été dans un tout autre endroit. J'aimerais que vous alliez droit au but si vous n'y voyez pas d'inconvénients...

Il eut un sourire aimable et s'assit face à elle. Elle était très agréable, exactement comme on l'avait décrite. Peut-être que Sousuke aurait eu plus de finesse mais, elle était telle qu'il se l'imaginait.

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Posté le 02-04-2007 à 18:14:08

Elle pouss aun profoind soupir et ferma les yeux. Pa strès coopèratifs. Il allait pourtant falloir qu'il y mette un peu du sien. Elle était là pour l'aider nom de nom! Pourquoi personne ne voulait il comprnedre ça. Elle prit une profonde inspiration pour se donner du courage et lui lança un regard lourd de reproches.

Ecoute Sousuke, je ne vais pas te serir le même baratin qu'asux autres sur l'inutilité de cette démarche vu que tu es le seul qu'elle concerne. Il va bien falloir un jour ou l'autre que tu expédies cette rancoeur. Et j'y passerais deux heures si il le faut, je n'admets pas qu'on joue l'autruche devant moi. Tu as besoin d'en parler et tu le sais aussi bien que moi.
Alors... Tu veux dire quelque chos eou bien faut il que je te sorte les vers du nez moi même?

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Posté le 02-04-2007 à 18:17:24

Il rit sans retenue aucune et regarda la jeune femme. Non mais pour qui se prenait-elle ? Tout se passait à merveille, il n'avait pas de raisons de déballer sa vie privée à uen parfaite inconnue. Il dit en la regardant dans les yeux.

Je crois qu'on s'est mal compris ou peut-être que je me suis trompé de bureau ? Vous n'êtes pas psy il me semble...Si je suis ici c'est uniquement pour répondre à vos questions, pas pour vous raconter ma vie. S'il vous plaît, mettons ça au clair et faisons en sorte de rendre cet entretien pour le moins argéable et sans encombres.

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Akemi Kura

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Posté le 02-04-2007 à 18:28:27

Elle fornça les sourcils avant de sourire légèrement.

Tu a speur?

Elle n'attendit pas sa réponse et secoua la tête avant de reprendre.

Je ne te poserait pas de question. D'aillerus, je vais simplement parler et tu va sécouter d'accord?
Quand j'étais gamine et que je me rendais déjà compte que je n'arriverais jamais à m'attacher auxc humains en raison de leurs imperfections, j'ai rencontré un chat qui trainait dans ma rue. Ca va paraitre stupide mais ce chat était la créature la plus belle et la plus adorable qu'il y ait au monde. Je suis passée le voir tous les jours pendant près de deux mois et j'ai ruiné toute sme séconomies pour le nourrir. Je me suis siagnée pour lui, entièrement. Certaines, ce sont les hommes, ben moi, c'était Tchiti Tchiti bang bang...
Un jour, il a eut un accident et j'ai du k'emmener à l'hopital. J'i vendu ma paire de chaussures préfèrée pour lui payer son opération et quand il en est sorti, il m'a griffé et est parti en courant. Je l'ai plus jamais revu. Ce chat était mon seul ami et il m'a griffée...
Eh ben tu veux que je te dise? J'étais tellemnet en rogne que je suis devenue allergique aux chats. Ne deviens pas allergique aux humaisn Sousuke... Ce qui est arrivé avec Raito ets injuste, cruel et particulièrement douloureux. Mais c'est la faute de la vie. Ni la tienne, ni la sienne. Il t'a abandonné et il y a suremnet une raison à cela que tu ignoreras toujours. Il faut que tu extériorises uin peu cette colère qui te détruit chaque jours. D'ailleurs, demande toi si c'est après lui opu après toi que tu en as

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Hisagi Sousuke

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Posté le 02-04-2007 à 18:35:00

Vous avez fait des études non ? Vous n'êtes pas stupide, j'en suis certain alors mettez-vous bien ça dans le crâne : je me moque bien de vos histoires et ce qui est arrivé à Raito ne me concerne en aucun cas. Ce que j'ai vécu avec lui c'était avec un autre que lui. Cessez de mettre votre grain de sel là où vous pourriez vous brûler...Vous êtes sur un terrain plus que dangereux qui ne vous appartient pas, souvenez-vous en...

Il se tut et l'observa d'un regard particulièrement dur et froid. Cette femme commençait sérieusement à lui taper sur le système. Qu'est-ce qu'elle pouavit apprendre de plus sur la mort de Raito ? Rien ! Si ce n'est emmerder l'un de ces vieux amis...

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Akemi Kura

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Posté le 03-04-2007 à 10:41:21

Elle répondit à soin regard par un sourire à la fois doux et impèarable. Elle le toisa longuement avant de murmurer d'une voix sereine.

Très bien. J'en conclus donc que tu te défiles.

Elle baissa les yeux vers ses feuilles en haussant les épaules. Elle savait pertinemment que ç allaitz fare mal. Aussi bien pour lui que pour elle. Mais c'était nécessaire.

Oui ça ne me surprend pas en fait... Raito m'avaiat bien dit que tu étais lache.

Elle releva vers lui un regard impitoyable.

Je commence à comprendre pourquoi il t'a laché. Il a bien fait en fait. Regarde toi. Un garçon aussi minable rester auprès de lui? Laisse moi rire... T'avais pas la trempe pour être un de ses amis. Qu'est ce qu'il a du se faire suer toutes ces années avec toi ¨le pauvre. Un petit minable des rues pas fichus d'assumer ses actes, stupides, sans charme et qui plus ets franchement laid. Tu ne mérites même pas qu'il pose les yeux sur toi.

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Hisagi Sousuke

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Posté le 07-04-2007 à 10:16:39

Il voyait très bien où elle voulait en venir. Elle désirait le toucher au point le plus sensible. Elle avait trouvé l'endroit mais ne savait pas encore comment frapper. Cette rengène, il se l'était répété assez souvent. Il n'était pas assez bien pour Raito, il ne pouvait pas prétendre au titre d'ami sincère, jamais, surtout qu'il n'appartenait pas à la même classe que lui. Il passa sa main sur son visage et resta calme. Il regarda la jeune femme encore plus sévèrement et dit.

Vous n'arriverez pas à m'enfoncer de cette façon, savez-vous pourquoi ? Parce que de nous deux, j'étais le moins impulsif. Raito prenait toujours ses grands airs mais à la moindre difficulté, il jouait sur son statut de chef, de snob aussi. Contrairement à vous, je l'ai connu. Vous...le connaissez. Il y a une énorme différence...

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Akemi Kura

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Posté le 07-04-2007 à 19:32:26

Elle eut un léger sourire et murmura d'une voix douce.

ca c'est ce que tu crois.

Elle fouilla dans ses papiers et sortit une enveloppe dépourvue dinscription qu'elle posa sur le bureau.

Après ton arrivée, il est venu me voir assez souvent. Presque tous les jours. Il était très perturbé, jamais je ne l'avais vu comme ça. Je le connaissais bien et d'ordinaire, il était relativement réfléchis mais là... Il arrêtait pas de dire des trucs qui n'avaient aucune cohérence, et il prononçait souvent ton nom. Il disiat que tu étais totalement stupide de venir ici, que tu allais te faire ramasser par tous les gosses de riche, qu'il ne pouvait pas t'aider, que si ses parents aprenaient avec qui il recommençait à trainer, tu aurais des problèmes...
Et puis un jour, il s'est calmé. Il était blanc comme un linge mais il était calme. La seule chose qu'il m'a dit, c'est "Voilà... Problème règlé." Après il m'a confié cette lettre au cas ou. Il a dit qu'elle expliquait tout mais je ne l'ai pas lue.

Elle soupira et s ereservit du café avant de reprnedre.

J'ai supposé qu'il t'avait parlé, et que ça s'était mal passé. Mais je dois dire que dans cette histoire, je n'ai pas pu faire grand chose. Ton arrivée l'avait rendu complètement dingue d'inquiètude et c'est à peine si il m'écoutait.

hj: Bon petit bricolage, si ça te va pas, j'édite!^^

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Hisagi Sousuke

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Posté le 08-04-2007 à 18:46:18

Alors qu'elle continuait d'expliquer les comportements de Raito, c'était lui qui devenait blanc comme linge. Une seule chose avait retenu son attention...cette fois, celle où Raito avait prononcé ces mots dans son bureau. Il commençait à y voir clair et tentait de retrouver des bribes de souvenirs. Comment avait-il pû oublier cela ? Raito ne s'était pas adressé à Sousuke directement. Il voulait lui faire comprendre qu'il n'avait rien à faire ici, qu'il devait quitter l'établissement une bonne fois pour toute...Il se rappelait de ce quartier à Shinjuku, de cet endroit où il avait été passé à tabac et...
Il releva la tête et sans dire quoi que ce soit prit la lettre. Ses mains tremblaient et il sentait les gouttes de sueur perler son dos. Il n'osait pas l'ouvrir mais il était hors de question de montrer à cette femme qu'il était plus que sensible sur ce sujet. Il froissa la lettre dans sa main et dit d'une voix forte.

Raito était un excellent comédien, meilleur que moi même ! Je ne le connaissais plus. La seule chose qui me rattachait à lui c'était ses mensonges.

Il se leva brusquement et tonitrua.

Même après sa mort il me hante ! Je le hais ! Je le hais plus que n'importe quel autre individu !

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